Vous allez me dire que ce n’est peut-être pas le moment de parler de Facebook pour encourager le monde à « liker » notre page, quand de nombreuses voix s’élèvent pour condamner les fuites de données personnelles d’utilisateurs. Oui, c’est vrai, mais! Mais, il reste que Facebook, qu’on aime ou qu’on n’aime pas, permet à des organismes comme le nôtre, sans but lucratif et sans budget publicitaire conséquent, de rejoindre des personnes qui pourraient, un jour, avoir besoin de leurs services. Notre objectif est d’informer et de sensibiliser la population sur l’existence des entreprises d’entraînement et les services qu’elles rendent. Et il faut bien reconnaître que pour y arriver, les réseaux sociaux sont aujourd’hui incontournables. En même temps, si vous lisez ces lignes, il y a fort à parier que vous avez suivi un lien à partir d’un média social, non? Bon! Alors soyons clairs et transparents : ON VEUT QUE VOUS NOUS AIMIEZ! Mais quelles raisons pourraient bien vous
Vous êtes employeur? Vous éprouvez parfois de la difficulté à trouver les perles rares pour contribuer à votre croissance? Il vous arrive aussi de trouver des candidats qui seraient parfaits s’il ne leur manquait pas certaines compétences et vous n’avez ni les ressources ni le temps pour les aider à les développer? Avez-vous déjà pensé à vous adresser aux entreprises d’entraînement de la région? Savez-vous seulement ce qu’on y fait et qui sont les personnes qui participent à leurs programmes? Permettez-moi de vous présenter trois profils différents de participants. Leurs noms sont fictifs, mais leurs histoires résument bien les situations vécues par ceux et celles qui passent par nos services. Chantal a 52 ans. Elle a un diplôme du secondaire et beaucoup d’années d’expérience en administration. Elle a travaillé plus de 20 ans à la comptabilité pour la même compagnie qui a fermé ses portes il y a trois mois. Elle a besoin d’actualiser ses connaissances, notamment en inform
Le taux de chômage en Chaudière-Appalaches était de 2.7% en février 2018. Bien! De quoi se réjouir, n’est-ce pas? On se lamente assez quand la situation est inverse. Une population majoritairement en emploi, ça inspire confiance en l’avenir, ça sent bon la prospérité. Mais voilà, toute médaille a son revers. Les entreprises ont encore besoin de main-d’œuvre pour fonctionner et le fait qu’elles ne peuvent plus puiser à volonté dans un réservoir de chômeurs nuit à leur croissance. Certaines doivent refuser des contrats faute de pouvoir les livrer. Quel paradoxe! Notre société manque de chômeurs, figurez-vous! Pour ceux et celles qui, comme moi, ont connu une époque où chercher un emploi relevait du parcours du combattant, ça laisse songeur. Pourtant, de nombreuses personnes sont encore en recherche d’emploi et ne trouvent pas nécessairement «chaussure à leur pied». Certaines ont accepté des postes moins intéressants ou pour lesquels elles sont surqualifiées, en atten
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